Collection Dominant Domine. Orages D’Été. (11/14)

Après avoir fait semblant de dépuceler Lucas, le fils du garagiste que j’avais appelé dans un premier temps pour réparer la voiture d’Angélique, ma maîtresse dans tous les sens du terme.
En quelques heures cette grande femme noire m’a subjugué par sa beauté et surtout son caractère qui a su me faire retrouver les moments de plénitude que j’avais avec Emmanuelle celle que j’ai connue à Dijon et qui a disparu après que j’ai eu mes jumeaux et que je suis venue à Paris habité avec Claude chez mes beaux-parents.

J’ai craqué un soir d’orage avec Angélique que j’avais vue sur le parking du super marché voisin.
Ma vie qui devenait de plus en plus morne, c’est trouvé accéléré surtout que j’adore accepté tout ce que me propose ma maîtresse devenue Maire Angélique.
C’est comme cela que je l’ai suivi au restaurant du golf de Lésigny où par un étrange hasard, j’ai mes habitudes tous les dimanches avec Claude, mon mari.
Angélique est exécrable avec le maître d’hôtel aussi en bonne professionnelle Létitia la gérante en plus de la caisse s’occupe personnellement de notre table.
Tout s’arrange avec mon amie quand elle lui dit vivre, elle aussi avec une jeune femme.
Les serveurs lui amènent les plats et elle s’empiffre devant moi qui ai eu en tout et pour toute une sole cuite à l’eau avec de l’eau en boisson.
J’ai triché légèrement en mangeant, car le cuisinier certainement dirigé par la gérante avait mis un petit bout de beurre que j’ai mangé avec délice sans me faire remarquer.
La catastrophe est survenue quand elle a attaqué les profiteroles, dessert que j’adore surtout ici, car j’en prends tous les dimanches, le chou qu’elle m’offre ayant amplifié ma frustration.

• Juliette, c’est moi, reviens, oui, passez-moi une serviette imbibée d’eau.
• Non, monsieur, je vous interdis d’ouvrir le chemisier de cette femme.
• Mais il faut qu’elle respire.

Non, il faut le laisser fermé, ils vont voir qu’Angélique ma placée des colliers d’électricien autour de mes seins.



• Alain vient, tu t’es assez ridiculisé, je m’en souviendrais de mes trente ans de mariage, comme si tes regards concupiscent vers cette pute m’avait échappé.
Tu vas voir demain, je vais aller acheter des tenues aussi osez qu’elle, après je vais descendre jusqu’ au bois de Vincennes près du champ de courses et là, je vais gagner un max de pognon pauvre mec.
• Bébé arrête, tu sais bien que je t’aime.
• Gille, allé à la caisse faire la note de ces personnes, les cafés sont pour la maison et fermé la porte afin que madame se remette au calme et se repose.

La pièce se vide et ma vue s’améliore, la quiétude du moment me fait attendre, car je sens qu’il va se passer quelque chose.

• Il y a longtemps que tu l’as mise au régime.
• Depuis qu’elle m’a fait venir chez elle et que j’ai senti qu’elle pourrait remplacer agréablement mon ancienne patronne que j’avais soumise à tous mes désirs.
• Que s’est-il passé entre vous ?
• Tout allait bien jusqu’au moment où j’ai dû faire une erreur de jugement, car elle m’a échappé et en a profité pour me licencier sans indemnité.
• La soumission est une question de dosage, tu viens de faire une petite erreur avec madame Juliette qui vient d’avoir une crise d’hypoglycémie.
• C’est grave ?
• On peut en mourir, elle revient à elle donnons lui un peu de tes profiteroles tous va se stabiliser.
• Merci du conseil, je ferais attention.
• Tu lui as mis des colliers d’électricien autour des seins, c’est vrai qu’elle est bandante, je pratique de façon identique avec ma Catherine mais il faut les desserrer de temps en temps et ce genre de lien doit se couper chaque fois car quand ils sont placés il est impossible de les desserrer.
Passez-moi un couteau.
• Je la trouvais belle comme cela et tu aurais vu comme elle me tendait ses seins pour que je serre, une vraie salope.
• Tu lui replaceras dès que vous serez rentrées, en attendant laissons-la respirer.

Si j’avais su qui elle était depuis le temps où elle venait j’aurais trouvé un motif pour l’inviter à prendre le café, je l’ai toujours considéré comme une bourge et je plaignais son mari qui devait avoir la vie triste au lit.
• Chacun de nous à son jardin secret il suffit de le découvrir, elle son avenir malgré son âge c’est de devenir une pute et m’être soumise.
• Je te propose de passer la journée ensemble mardi c’est notre jour de fermeture, tu viendras avec elle et nous jouerons avec nos soumises, je te parie que je ferais faire à Catherine des choses que madame Juliette est loin de faire.
• Arrête de l’appeler madame, pour cela je vais la punir laisse lui ces colliers ça lui apprendra à tomber dans les pommes.

Et les profiteroles, je sens déjà le chocolat chaud sur mes lèvres.

• Allez, redresse-toi ma salope, je vois que tu as repris des couleurs, donne-lui un verre d’eau sucré, ce sera ton régime maintenant, poisson bouilli avec un verre d’eau sucré, ton corps sera plus équilibré.
• Tu es dure mais je pense que tu as raison, ces salopes en veulent toujours plus.
En attendant le repas vous est offert.
• Hors de question, c’est elle qui paye et elle prendrait cela pour de la faiblesse, amène-nous une autre bouteille de champagne que nous mettrons sur sa note, je t’invite à prendre une coupe.

La bouteille est servie.

• Tiens suce, tu vas aimer.

Elle trempe son doigt dans sa coupe et me le fait sucer, je sens que ce geste est dégradant pour moi mais il vient d’elle et je l’accepte
C’est comme cela que nous rentrons, elle me fait tout de même prendre le volant, l’atmosphère de plus en plus lourde car des éclaires de chaleur zèbrent le ciel.

• Monte te coucher à cause de ton caprice mon dessert est resté sur la table et Achille sera mécontent si tu es en mauvaise forme.

J’ai mal au sein, j’ai mal à mon estomac malgré l’eau sucrée et le doigt dans son verre mais je vais me coucher sachant que demain ma journée va être mouvementée.

Le lendemain la pluie est restée dans les nuages qui ont disparu, mon Maître m’a donné les clefs de la C1 gardant celle de la mienne pour aller chercher Claude, je rejoins le garage et j’emmène Lucas aux yeux et à la barbe de son père qui me congratule de prendre soin de son rejeton, je le préviens que nous reviendrons tard dans la nuit.

• Dis-moi où se trouve ton amoureux ?
• Ou vas-tu ?
• Dans Paris.
• Nous allons passer devant je te préviendrais avant.
• Je serais dans Paris jusqu’à 1 heure du matin, tu auras tout le temps de t’éclater avec ton beau ténébreux.
• Merci madame Juliette, si j’avais été hétéro je vous aimerais.
• Aller file, cette nuit de l’autre côté de l’avenue soit à l’heure.

Je redémarre et je le vois entrer dans la boutique.
Parking souterrain et Achille vient m’ouvrir.

• Emmanuella est là, ton petit cul a de la chance je dois m’absenter et elle va s’occuper de toi dans les Lives toutes les heures, va te préparer.

Je vais me mettre en tenue de travail c’est-à-dire nue avec mes seins ayant changé de couleur toujours cerclé et je rejoins le bar où une jeune femme aussi nue que moi est assise.
Elle se retourne sentant ma présence.

• Emmanuelle que fais-tu ici.
• Juliette, je travaille.
• Tu es Emmanuella.
• Je vois que vous vous connaissez, le rapprochement sera plus facile, éclatez-vous dans une heure, il y a un groupe d’étrangers libertins qui arrivent.

Nous nous désintéressons d’Achille et elle me prend dans ses bras.

• Qu’as-tu autour des seins, il faut être malade pour te les serrer de la sorte ?
• Je suis puni, j’ai déplu à Maitre Angélique.
• Cette salope, elle a essayé de venir vivre chez moi quand sa patronne la virée, elle a fait le Live une ou deux fois avec moi après qu’elle eut failli faire couler sa boîte, la cousine d’Achille est une mante religieuse qui pille ses maîtresses et se tire quand elle a tout récolté.

Et ton mari ?
• Elle va chercher Claude qui revient des États-Unis vers 17 heures.
• C’est fichu, elle va l’embobiner et lui faire croire ce qu’il voudra entendre, je vais t’aider à t’en débarrasser.

Elle passe derrière le bar et revient avec des ciseaux, elle coupe mes liens mes seins me faisant mal quand la circulation redevient normale.
Voyant le plug elle me l’enlève et tend la main pour le poser sur le comptoir.
Elle me les masse, ma chatte retrouve naturellement les caresses de mon amie et je mouille.

• Comment tu t’es retrouvée ici ?
• C’est de ta faute !
• Depuis le temps que je t’ai quitté à Dijon tu crois que c’est de ma faute.
• Oui, tu es partie sans me laisser adresse ou numéro de téléphone, je suis venue à Paris et je t’ai cherché, la vie a tourné sans que je te trouve et j’ai fini par atterrir ici.
• J’ai fait mes études en même temps que ma grossesse et j’ai souvent pensé à toi mais la naissance de ma fille m’a beaucoup accaparé ajouter à mon travail à la fac de Vincennes qui m’a pris beaucoup de temps.
• Pur ma part mon parcours a été semé d’embûche, j’ai dû arrêter mes études et j’ai été strip-teaseuse à Pigalle pendant plusieurs années.
L’âge m’a rattrapé et j’ai dû tourner dans des films pornos quand Achille m’a proposé de travailler dans son club échangiste surtout à faire consommer les clients la transition a été toute trouvée.

Deux clients s’approchent d’Emmanuelle et non Emmanuella pour moi et le premier bouchon de champagne saute jusqu’au moment de notre première prestation sur la scène attendue par un grand nombre de libertins.
J’ai bien sûr mon collier au mousqueton duquel Emmanuelle attache la laisse qui me permet dès que je suis à quatre pattes de faire une entrée sous les applaudissements.
Deux femmes dans la force de l’âge dont l’une attachée au cou doit former un tableau assez bandant mais moi à ce moment je suis tendu vers un seul but retrouver la chatte de celle qui a su m’éveiller à la sexualité féminine.
Dès que je monte sur scène je mime l’attaque d’un fauve voulant dévorer sa dompteuse et tournant autour d’elle en faisant voir ses crocs.
Je finis par l’attr la faire tomber au sol et finir dans un 69 du plus bel effet.
Il est doux de retrouver l’odeur de ma maîtresse perdue depuis si longtemps, les effluves que dégage sa chatte sont les mêmes qu’il y a 20 ans mais les chairs sont plus ouvertes qu’à l’époque ou notre lit aimait l’entendre jouir avant que moi-même je jouisse.
Sa langue retrouve sa place au fond de moi avec délice et arrive sans souci à me tirer un orgasme aussi surprenant que ceux qu’elle faisait fleurir au temps des folies de notre jeunesse.
Pendant ce qui devrait être un spectacle je perds la notion du temps et quand nous retournons au bar suivi de nombreux clients et clientes j’ai du mal à revenir sur terre…

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